Des embarquements et débarquements d’autobus, de poussière entourés.
Des lunettes, cheveux, et vêtements de piétons à nettoyer.
Des grands tapis bleus et verts à acheter, à installer, à désinstaller, à nettoyer.
Des pelouses endommagées.
Des argents dépensés, pour acheter des rouleaux à déloger les multiples pierres non désirées.
Des politiques, dit-on, pour économiser, mais à vérifier et à questionner.
Des autos, des galeries, des arbres, des fenêtres empoussiérés, comme jamais dans le passé.
Des jours pluvieux à se mettre à désirer, pour diminuer les effets de notre ville empoussiérée.
Des paysages de laideurs à vous attrister.