Pourquoi les derniers politiciens fédéraux à prendre au sérieux la menace nucléaire russe furent le libéral Pierre Elliott Trudeau et le progressiste conservateur Douglas Roche?
Pourquoi COP27 prendra enfin au sérieux les dégâts environnementaux militaires?
Pourquoi le pathétique Parti Vert d’Elizabeth May a-t-il écarté de sa course au leadership tout candidat favorable aux négociations de paix en Ukraine?
Pourquoi Chrystia Freeland et Justin Trudeau préfèrent payer des milliards$ à l’OTAN?
Pourquoi nos médias main stream ont pris le parti de la guerre et de la censure, alors que Pressenza.com, l’Aut’Journal et Presse-toi à gauche.orgprennent celui de la paix?
Les Artistes pour la Paix choisissent[1] le Secrétaire général des Nations-Unies, le pape, la Chine, l’Inde, la majorité des pays d’Afrique et d’Amérique du Sud, l’Agora des Habitants de la Terre, le Cercle universel des Ambassadeurs de Paix, Échec à la guerre, Riccardo Petrella, Noam Chomsky et André Jacob qui appellent, unanimes, à NÉGOCIER!
Plutôt que Zelensky, écoutons les sages paroles censurées des pacifistes ukrainiens :
« Nous condamnons les propagandes officielles d’une hostilité extrême et irréconciliable et croyons que nous devrions puiser de l’histoire des exemples de retour à une vie paisible, pas des accusations pour continuer la guerre. Les exemples tragiques de brutalité militaire ne doivent pas être utilisés pour inciter à la haine et justifier de nouvelles atrocités; au contraire, de telles tragédies devraient refroidir l’esprit combatif et encourager une recherche persistante des moyens les moins sanglants pour mettre fin à la guerre. »
Plutôt que l’agressivité pétrolière et gazière du ministre Fitzgibbon, nous choisissons la PDG d’Hydro-Québec Sophie Brochu et l’Artiste pour la Paix 2020 Christine Beaulieu.
Le Manifeste de la résiliencepour une agriculture québécoise écologique, collective et durable mérite aussi notre attention; l’écrivain-agriculteur-écologiste américain Wendell Berry dit :
Nous avons vécu nos vies en supposant que ce qui était bon pour nous serait bon pour le monde. Nous nous sommes trompés.
Nous devons changer nos vies pour qu’il soit possible de vivre selon l’hypothèse inverse; que ce qui est bon pour le monde soit bon pour nous.
Et cela exige que nous fassions l’effort de connaître le monde et d’apprendre ce qui est bon pour lui.
[1] http://www.artistespourlapaix.org/desarmants_aplp/ 102 pages publiées le 9 octobre 2022